Le 2 juin dernier, le Français Thomas Pesquet, 38 ans, astronaute, rentrait sur Terre après avoir passé 6 mois dans la station spatiale internationale. La réalisation d’un rêve d’enfant pour ce type hors-norme qui après avoir été sélectionné parmi 8413 candidats, suivit une formation intense pendant 7 ans, entre Cologne, Moscou, Houston et Baïkonour…
 Marion Montaigne dresse, dans ce « presque » roman graphique, un portrait très imagé, un rien parodique, intéressant et drôle de l’astronaute Thomas Pesquet. Avec un style très loin du dessin académique, Marion Montaigne contribue pourtant à faire comprendre tous les aspects du quotidien d’un astronaute.
Marion Montaigne dresse, dans ce « presque » roman graphique, un portrait très imagé, un rien parodique, intéressant et drôle de l’astronaute Thomas Pesquet. Avec un style très loin du dessin académique, Marion Montaigne contribue pourtant à faire comprendre tous les aspects du quotidien d’un astronaute.
Elle nous invite à suivre les longs préparatifs de son vol, à l’ESA, au CNES, à la Nasa (USA), à la cité de l’espace et au centre Youri Gagarine en Russie. Elle raconte sa vocation, son admission, ses attentes, sa formation, ses doutes, sa vie quotidienne, ses compagnons d’équipage pendant et après son séjour dans l’espace, achevé début juin 2017.
Cette histoire, pour laquelle Thomas Pesquet a laissé carte blanche à Marion Montaigne tout en portant un regard complice, n’est pas une BD documentaire « ordinaire », mais un ouvrage de vulgarisation – un peu déjantée – sur la mission Proxima et ses enjeux.
Extrait à découvrir sur le site de l’éditeur
Références : Titre : Dans la combi de Thomas Pesquet Auteur : Marion Montaigne Éditeur : Dargaud Année de publication : 2017 Cote : BD MON

 Qui n’a jamais eu envie de tout plaquer pour se mettre au vert ? Certains osent sauter le pas, écœurés par le rythme de dingue que nous impose la vie citadine. Au Japon aussi, on observe ce phénomène. Là-bas comme ailleurs, le retour à la campagne est motivé par un besoin d’authenticité. C’est devenu tellement tendance que même les mangas s’emparent du sujet.
Qui n’a jamais eu envie de tout plaquer pour se mettre au vert ? Certains osent sauter le pas, écœurés par le rythme de dingue que nous impose la vie citadine. Au Japon aussi, on observe ce phénomène. Là-bas comme ailleurs, le retour à la campagne est motivé par un besoin d’authenticité. C’est devenu tellement tendance que même les mangas s’emparent du sujet. Mais La péninsule aux 24 saisons n’est pas un manga. C’est un roman à caractère autobiographique. On pourrait même le qualifier de réflexions. Mieux encore de méditations, pour rester dans l’ambiance zen. Ces méditations sont inspirées par l’installation de l’auteure sur la presqu’île de Shima, loin de la folie de
Mais La péninsule aux 24 saisons n’est pas un manga. C’est un roman à caractère autobiographique. On pourrait même le qualifier de réflexions. Mieux encore de méditations, pour rester dans l’ambiance zen. Ces méditations sont inspirées par l’installation de l’auteure sur la presqu’île de Shima, loin de la folie de  Tokyo. Pendant un an, l’auteure va vivre au rythme de la nature et de ses vingt-quatre saisons, dont elle découvre le principe grâce à un calendrier traditionnel. Les vingt-quatre saisons tiennent davantage compte des multiples changements de la nature. Elles guident pas à pas celui qui tire sa subsistance de la terre.
Tokyo. Pendant un an, l’auteure va vivre au rythme de la nature et de ses vingt-quatre saisons, dont elle découvre le principe grâce à un calendrier traditionnel. Les vingt-quatre saisons tiennent davantage compte des multiples changements de la nature. Elles guident pas à pas celui qui tire sa subsistance de la terre. Dans la presqu’île de Shima, on réapprend la lenteur. Les petites choses qui s’y déroulent sont anodines : le rucher de la voisine, la vieille barque échouée dans le marais, les moustiques et la chaleur assommante, la décharge sauvage, le séjour de la mère vieillissante, les lucioles à la nuit tombée, la fête au milieu des bambous, le cimetière des camélias… autant de tableaux qui poussent l’auteure à s’interroger sur la vie -la sienne et celle des autres-, sur la mort, sur tout ce qui passe, s’enfuit, s’écoule, ainsi que sur le rapport de l’homme à son environnement.
Dans la presqu’île de Shima, on réapprend la lenteur. Les petites choses qui s’y déroulent sont anodines : le rucher de la voisine, la vieille barque échouée dans le marais, les moustiques et la chaleur assommante, la décharge sauvage, le séjour de la mère vieillissante, les lucioles à la nuit tombée, la fête au milieu des bambous, le cimetière des camélias… autant de tableaux qui poussent l’auteure à s’interroger sur la vie -la sienne et celle des autres-, sur la mort, sur tout ce qui passe, s’enfuit, s’écoule, ainsi que sur le rapport de l’homme à son environnement. FICHE TECHNIQUE :
Titre : La péninsule aux 24 saisons
Auteur : Mayumi Inaba
Pays : Japon
Editeur :
FICHE TECHNIQUE :
Titre : La péninsule aux 24 saisons
Auteur : Mayumi Inaba
Pays : Japon
Editeur : 





























































































































































































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