Tout chaud !

 

Une nouvelle étape dans notre voyage à la rencontre des arbres remarquables de Lattes est désormais disponible : découvrez les micocouliers du parc Biquet en cliquant sur l’image ci-contre.
Un grand merci à l’association “Lattes en transition” et à la Maison de la Nature, sans qui cette aventure n’aurait pas été possible !

 

Vous pouvez également accéder à cette ressource documentaire via la rubrique CONSERVATION & ARCHIVES du menu.

 

Lectures de l’été 2019 : nos suggestions…

1. WOUAW !!! I FEEL GOOD...

Vous avez été nombreux/euses à apprécier notre thématique de l’année dernière sur le roman feel good… mais aussi déçus/es de ne pas la retrouver sur nos tables cette année !

C’est pourquoi nous vous proposons un petit récapitulatif des romans feel good acquis depuis l’été dernier, au cas où vous souhaiteriez profiter des grandes vacances pour continuer d’explorer ce style littéraire sympathique et léger :

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À dénicher directement dans nos rayons !

 

Thématique “Apollo 11” – juillet 2019

 

À tous ceux qui ont la tête dans les étoiles, qui viennent d’une autre planète ou qui ont tendance à être dans la lune, la Médiathèque de Lattes propose une thématique sur la conquête spatiale pour célébrer les 50 ans de la mission Apollo 11.
De quoi atteindre le 7ème ciel et plus si affinités !

Documentaires adultes :

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Documentaires jeunesse :

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cinéma :

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Musique :

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Bandes dessinées :

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En bonus, quelques photos de la petite expo que le chef vous a concoctée pour l’occasion :

 

Retour sur les écoutes musicales du 29 juin 2019 (Audiofil 080)

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La compétition tant attendue vient de s’achever et le résultat est tombé…
Non, nous ne parlons pas de football féminin mais de blind-test dans le cadre des Audiofils (le n°080).
Cette année, le vainqueur est une “vainqueuse” : Audrey, qui a mis la pression dès le départ, mené de bout en bout et remporté la victoire haut la main et l’oreille. Certains en sont encore tout chafouins, impressionnés et abasourdis (nous disons bien certains et pas certaines… le masculin est de circonstance !).
Bravo à Audrey.

Pourtant rien d’insurmontable dans ce choix plutôt classique (fait par les participants !) où se côtoyaient Copland et Bruckner, Auric et Wagner et où un Legrand a pu en cacher un autre. La fauvette des jardins a apparemment posé problème à tous, et des pièges étaient tendus, prêts à se refermer sur l’auditeur.

Schlack ! Vicieux ce Who chanté par le bassiste, taquin ce Peter Gabriel peu connu, rappé par deux autres interprètes, et piégeant ce Lockwood déjà entendu deux fois et qu’on a sur le bout de la langue.
Alors, au vu de la playlist, combien en auriez-vous trouvés ?

La nouvelle saison des écoutes musicales débutera en principe le 23 novembre. Oui vous avez bien lu. C’est loin, c’est tard, beaucoup plus que d’habitude, contretemps divers et variés obligeant !
D’ici là, bonnes vacances, bonne rentrée, joyeux Halloween et tout le toutim !

 

Nouvelle référence magazine : CUISINE ET VINS DE FRANCE

Notre fournisseur de périodiques est très généreux : il nous a offert un abonnement gratuit d’un an au magazine Cuisine et Vins de France !

Et qui est-ce qui va en bénéficier ? Nos adhérents préférés, bien sûr !
Du moins les plus gourmands d’entre eux !

À déguster sans modération au rayon Adultes !



Début de l'abonnement :
numéro 189 de juillet et août 2019 consacré aux saveurs de l'été

 

Retour sur les écoutes musicales du 15 juin 2019 (Audiofil 079)

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Les 79èmes écoutes musicales, le 15 juin dernier, déroulées se sont.

Bon… nous reprenons de suite la parole et le flambeau à Maître Yoda car il est sympathique mais un peu pénible à suivre. La thématique de l’audiofil a donc été, vous l’aurez deviné, Star Wars. Plus exactement, Thibault nous a décortiqué la bientôt nonalogie de George Lucas et consorts sous l’angle de la musique et du fameux (faux) retraité John Williams.

Nous avons abordé les thèmes récurrents attachés aux personnages (des leitmotiv, comme chez Richard Wagner), les variations, le rôle des instruments, les orchestrations et rebondi de trilogie en trilogie. Les détails techniques ont côtoyé les anecdotes et le tout baignait dans la force des notes, une évidence dès lors qu’on s’affranchit des images.

Encore bravo à Thibault pour son travail précis et encyclopédique.

Enfin, rendez-vous final de la saison des écoutes musicales pour le blind test qui démarrera – attention – à 10h00 pétantes. Les retardataires marqueront moins de points…

 

 

Coup de ♥ DVD : MIRAI, MA PETITE SOEUR, de Mamoru Hosoda

Japanime : un mot-valise pour un coup de cœur dépaysant ! Mirai, ma petite sœur, nous vient en effet tout droit du Japon, où le film d’animation est une industrie (qui a bercé l’enfance de toute une génération à coup de kamehameha ravageurs) mais aussi un art à part entière, avec ses réalisateurs stars et ses studios phares.

Passé par le mastodonte Toei Animation (à qui l’on doit les cultissimes Dragon Ball, Sailor Moon ou plus récemment One piece) et par les studios Ghibli, Mamoru Hosoda a longtemps été considéré comme l’héritier de Miyazaki. Si son trait se rapproche effectivement de celui du Maître, il a su développer un univers à part entière, qui mêle l’imaginaire à l’ordinaire pour en révéler toute la poésie*.

C’est finalement cet art de la nuance qui caractérise le mieux l’œuvre du réalisateur. C’est ainsi que, dans un pays fortement marqué par l’antagonisme entre tradition et modernité, Hosoda refuse la confrontation et lui préfère la synthèse : si le titre du film, Miraï, signifie avenir, c’est à l’ancienne qu’il travaille ses dessins, tous minutieusement réalisés à la main. La finesse du trait n’a d’égal que la précision des détails : la maison, modèle de réalisme (dont le plan a été travaillé avec un véritable architecte !), va paradoxalement devenir le théâtre de l’imagination du petit Kun, tout juste promu grand frère, et qui voit l’arrivée de sa petite sœur Miraï d’un mauvais œil…

Mais au-delà de Kun et de son attendue jalousie, c’est chacun qui doit trouver sa place au sein de la famille. Une des forces du film réside d’ailleurs dans cette honnêteté : une naissance est un séisme pour les enfants autant que pour les adultes. Aucune difficulté n’est éludée : fatigue des parents, crises de colère de l’enfant, logistique**… Chaque problème est traité avec toute l’attention et la légitimité qu’il mérite, sans manichéisme, permettant une totale empathie avec chacun des personnages.

Foisonnant, Miraï, ma petite sœur, aborde également en filigrane des thèmes aussi variés que le handicap, la guerre, la filiation…

Un film d’une grande finesse et d’une rare humanité, à partager en famille !

* C’est ainsi que le groupe LVMH s’est alloué les services de ce réalisateur connu et reconnu pour signer un (très joli) spot publicitaire pour sa marque Louis Vuitton. Car le propre du luxe n’est-il pas de faire rêver le commun des mortels (et ainsi d’accessoirement s’assurer l’audience la plus large possible dans cet el dorado financier que représente le Japon pour le très prosaïque secteur du luxe…).

** c’est assez rare pour le souligner : c’est ici le père qui s’occupe des enfants et travaille à la maison tandis que la mère reprend le travail. A cet égard aussi le film fait preuve de modernité dans ses représentations.

Référence
Miraï, ma petite soeur, de Mamoru HOSODA (2018)
Cote : A HOS

 

Coup de ♥ littérature adulte : LA TRILOGIE DE TOBY JUG de Denis O’Connor

“L’esprit de Toby Jug demeure présent dans chacun de ces arbres et de ces pierres.”

Tome 1 (Cote : R. OCO 1)

Présentés lors de la récente thématique sur les chats, les livres de Denis O’Connor forment une vraie-fausse trilogie. Vraie parce que les événements qu’ils relatent décrivent une suite chronologique. Fausse parce qu’ils peuvent se lire indépendamment, sans chevauchement ni lacune grâce au talent de l’auteur, bien que rien ne vaille de commencer par le commencement !

Et donc, au commencement était À pas de velours. Où l’on découvre comment Denis O’Connor, jeune professeur anglais, s’installe au cottage de la Hulotte et sauve la vie d’un chaton nouveau-né par une sombre nuit d’hiver. Nous sommes dans les années 60. Le chaton en question deviendra Toby Jug. À moitié maine coon, il nouera une relation si exceptionnelle avec l’auteur, que ce dernier en sera marqué à vie.

Tome 2 (Cote : R. OCO 2)

Vous l’aurez compris, les écrits d’O’Connor sont autobiographiques. Ils n’en possèdent pas moins les qualités d’un roman, à commencer par la fluidité. Ce qui les rend si plaisants à lire, ce n’est pas tant l’attachement d’un homme pour son animal de compagnie, que la découverte de la vie à la campagne, au rythme des saisons. Soit un pur concentré de l’Angleterre que l’on aime : bucolique, paisible, gourmande et douillette, pour ne pas dire cosy.

Denis O’Connor s’y révèle un homme en avance sur son époque, très sensible à la cause animale et environnementale. En témoigne son sabotage de la chasse à la loutre, ou les soins prodigués à la jument Lady May, décrits dans le second tome, Un chat dans le cœur. C’est aussi un sage à sa façon, ouvert au paranormal comme le prouve sa rencontre avec la sorcière de Rampton Hall, toujours dans le même tome.

Tome 3 (Cote : R. OCO 3)

On sent que cette vie de jeune célibataire au cottage de la Hulotte représente pour lui l’âge d’or. Si bien que vingt après, il n’hésite pas à retourner s’y installer avec son épouse. C’est le propos de Quatre chats dans le cœur dans lequel se succèdent quatre nouveaux compagnons à poils. Des félidés bien sûr ! Maine coon, de surcroît ! Leurs facéties n’ont pas fini d’éveiller le souvenir du regretté Toby Jug, que Denis fait revivre une dernière fois via des anecdotes inédites, pour notre plus grand plaisir de lecteur !

 

Acquisitions littérature en gros caractères – Été 2019

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Chose promise, chose due : voici la deuxième vague de nouveaux livres en gros caractères de l’année.

Vous nous croirez ou non, mais il en reste encore autant dans la réserve, ne demandant qu’à être équipés.

Rendez-vous donc en septembre pour la suite et fin !

 

Acquisitions documentaires adultes – Été 2019

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Parce que les matinées d’achat sont courtes et que le temps défile à toute allure ; parce qu’on a vite fait de se perdre dans les rayons labyrinthiques de Sauramps et qu’on préfère se concentrer sur les romans ; parce que ci et parce que ça… on se retrouve avec dix pauvres malheureux documentaires en nouveautés.

Voilà. Rien de plus à ajouter.
Sinon qu’on essaiera de faire mieux la prochaine fois.
Mais sans garantie aucune.
Toujours pour les mêmes raisons…

 

Acquisitions littérature adulte – Été 2019

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Si le printemps fut la saison des polars à la Médiathèque de Lattes (cf. la précédente liste de nouveautés) l’été sera celle de la littérature étrangère.

Un prélude aux grandes vacances ?
Dans ce cas, il ne vous reste plus qu’à choisir votre destination littéraire :
Allemagne : Olga (Schlink), Le dernier amour de Baba Dounia (Bronsky)
Italie : Le livre perdu de Léonard de Vinci (Fioretti), La Storia (Morante)
Espagne : D’Elizabeth à Teresa (Izaguirre), Le trône maudit (Corral Lafuente)
Japon : La grande traversée (Miura), Le ciel pleut l’indifférence (Shiga)
Australie : Le bruissement des feuilles (Viggers), La route de Savannah Winds (McKinley)
Cuba : La transparence du temps (Padura)…

… la liste est encore longue !

Et pour ceux qui préfèrent visiter des contrées imaginaires, un petit événement : l’acquisition de la série complète Sorceleur du polonais Sapkowski, véritable phénomène de librairie, adaptée en jeu vidéo et en série télévisée.

Bref on vous promettait du voyage, on ne vous a pas menti !

 

Littérature jeunesse : on a lu pour vous…

1. Aberrations, tome 1 : Le réveil des monstres

Le cousin trash de Tom Ward !

Cote : J. DEL 1

Avis à tous ceux qui ont aimé L’épouvanteur de Joseph Delaney : les éditions Bayard publie une nouvelle série de l’auteur britannique ! Intitulée Aberrations, elle reprend les ingrédients qui ont fait le succès de sa grande sœur : dans une Angleterre aux allures médiévales-fantastiques, le jeune Crafty, que ses origines familiales dotent d’aptitudes magiques, est formé au dangereux métier de “mouche de porte” pour lutter contre le Shole, un brouillard maléfique transformant tous ceux qu’il recouvre en créatures cauchemardesques. Mais comme va très vite l’apprendre Crafty, il y a pire que les revenants, les monstres ou les sorcières cachés dans le Shole. Il y a les traîtres qui prennent un plaisir cruel à éliminer les “mouches de porte”…
Un premier tome efficace et prometteur, malgré la noirceur de l’atmosphère et la violence de certaines scènes (tortures, meurtres, transformations inhumaines). Pour lecteurs de 12 ans et plus. Âmes sensibles s’abstenir…


2. Arlo Finch, tome 1 : Le mystère des Longs Bois

Harry Potter chez les Castors Juniors !

Cote : J. AUG 1

On ne le dira jamais assez : la saga Harry Potter a révolutionné le monde de la littérature jeunesse. Elle a fixé des codes qui sont toujours d’actualité vingt ans après et que bon nombre “d’héritiers” se sont empressés de reprendre, y voyant la clé du succès. C’est le cas de John August, collaborateur du grand Tim Burton, avec sa nouvelle série Arlo Finch. Dans ce premier tome, le héros éponyme, Arlo, douze ans, se réfugie dans un village perdu du Colorado avec sa famille. Un village cerné par une forêt extraordinaire, les Longs Bois, qui pourrait bien être la frontière avec un autre monde. Autour d’Arlo, il y a les indispensables camarades façon Ron et Hermione, en compagnie desquels il découvrira la magie des lieux ainsi que son potentiel insoupçonné. Il ne manque plus qu’une école des sorciers pour parfaire le tableau. Oui mais non ! Parce que nos héros ne sont pas des sorciers mais des rangers. Ou si vous préférez des scouts, façon Castors Juniors cette fois-ci. C’est là la véritable originalité de cet univers au demeurant sympathique, qui mêle magie et apologie de l’esprit de groupe. Dès 10 ans.


3. L’île des disparus, tome 1 : La fille de l’eau

Une reine du polar en territoire jeune !

Cote : J. STE

Valeur montante des romans policiers pour adultes, Viveca Sten s’associe avec sa propre fille Camilla pour nous livrer une série jeunesse inédite L’île des disparus. Si ce premier tome ne manque pas de références (certaines parfaitement assumées comme Twilight), il n’en possède pas moins des atouts propres. Et quels atouts ! Un univers original, inspiré des croyances populaires nordiques. Une ambiance inquiétante et glacée à l’image des îles suédoises où l’action se déroule. Une intrigue bien ficelée où s’exprime la maestria de l’auteur en matière de suspense. Un style singulier, à la première personne et au présent, qui nous permet une empathie totale avec Tuva, héroïne et narratrice de l’histoire. Cette dernière est une collégienne de douze ans pas vraiment comme les autres. Parce que, bébé, elle a miraculeusement survécu à un accident de bateau qui aurait dû lui coûter la vie. Et parce que depuis, une réputation de monstre de foire lui colle à la peau. La situation ne s’arrange guère lorsqu’elle se retrouve mêlée à la disparition mystérieuse d’un garçon populaire du collège. Sans parler des phénomènes surnaturels qui accompagnent cette disparition ou de l’angoisse que ressent Tuva à proximité de la mer…
Totalement addictif ! Vivement la suite !
Pour ados et adultes décomplexés.

 

Retour sur les écoutes musicales du 18 mai 2019 (Audiofil 078)

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Les écoutes musicales viennent de passer le 78ème niveau, et qu’y a-t-on vu ?
Est et ouest s’entrecroiser : le sitar d’Anoushka Shankar (fille de) s’enrouler autour de la guitare d’un Monténégrin (Milos) ; un trio palestinien d’ouds (Le Trio Joubran) s’acoquiner avec un piano jazz ; Jean-My Truong, batteur au parcours légendaire, lorgner vers l’Inde dans son jazz fusion ; ou encore la pianiste Yuja Wang reprendre le francissime Dukas (l’âpre anti-sorts sied !) ; et même le regretté Didier Lockwood flirter avec la world music !

En bonus, Audrey nous a fait l’éloge de la lenteur, du silence et du suggéré à travers deux bougons (de génie ?) : Mark Hollis et Bertrand Belin.
Éclectique ? À vous de juger et d’écouter !

Rendez-vous pour l’Audiofil 079 le samedi 15 juin et pour le traditionnel Blind test le samedi 29 juin, soit deux fois plus de bonheur avant la pause estivale…

Ci-contre, de haut en bas : Anoushka Shankar, Trio Joubran, Jean-My Truong, Yuja Wang, Bertrand Belin

 

Thématique : “sport & cinéma”

Sport & cinéma, corps & esprit… Alors qu’on pourrait les croire opposés, ce sont en réalité de véritables alliés. Car non seulement ces deux se complètent, mais ils partagent même des traits en commun.

Pourtant, si le sujet inspire largement les réalisateurs (les biopics de sportifs et autres récits de rivalités célèbres sont légion au cinéma), le film de sport reste un genre boudé du public. Voici donc une occasion de réviser votre jugement… (Ou pas ! )

Pour retrouver la filmographie complète, cliquez ici !