Tuto malin : transporter vos livres à la japonaise…

La thématique Japon, qui a occupé nos tables tout au long du premier trimestre 2020, touche à sa fin. Pour la clore en beauté, voici un tutoriel furoshiki. Ou comment transporter vos livres dans un emballage tissu simple à réaliser :

Etape 1 :

– Munissez-vous d’un tissu carré d’environ 25 cm x 25 cm (dimensions valables pour une pile de 5 ou 6 livres petit et/ou grand format ; prévoir un peu plus grand pour le transport de bandes dessinées).
– Positionnez-le en losange devant vous.

Etape 2 :

– Déposez votre pile de livres au centre du tissu, à l’horizontale.

Etape 3 :

– Réunissez les deux coins verticaux du tissu au dessus de votre pile.

Etape 4 :

– Nouez-les ensemble avec un nœud double.

Etape 5 :

– Réunissez les deux coins horizontaux du tissu au-dessus de la pile.

Etape 6 :

– Nouez-les ensemble avec un nœud double.

Etape 7 :

– Tadam ! Votre sac en tissu improvisé est prêt. Vous pouvez le transporter en vous servant du dernier nœud double comme d’une anse.

 

Merci à Laurence, de l’association Matsuri Events, qui a animé l’atelier furoshiki lors de la Nuit de la Lecture 2020. On lui doit l’idée de cet article !

 

Retour sur les écoutes musicales du 8 février 2020 (Audiofil 082)

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Chapitre 82…

Où l’on apprend que la 15ème étoile la plus brillante dans le ciel est la première de la constellation de la Vierge (Spica) et aussi un titre électronique du (regretté) percussionniste Morris Pert.
Où l’on parle de jazz modal, mais à propos d’une chanteuse de rock très éclectique, Jane Siberry.
Où l’on voit aussi que pour chanter le jazz, pas besoin d’envoyer du décibel mais que la douceur peut l’emporter, tel Michael Franks.
Où l’on confirme que Pascal Dusapin est bien un pilier de la musique contemporaine avec ses pièces pour solo d’orchestre.
Où le hasard rapproche un Italien, Paolo Conte, et une Marocaine, Oum, faisant le point sur la quarantaine (on parle des ans, pas de virus).
Où la French Touch de Flavien Berger et le jazz époustouflant de Christian Scott réconcilient tous les participants.

Décidément, les écoutes musicales se vivent comme un roman à rebondissements !

Ci-contre, de haut en bas : Morris Pert, Jane Siberry, Michael Franks, Paolo Conte, Oum, Christian Scott

 

Confinés… (mais cultivés) #1 – kids

Pour inaugurer le premier article de cette rubrique inédite, nous vous proposons une sélection spécial « parents épuisés / à court d’idées / surbookés » (bref, parents confinés).

Vous en avez assez de lire T’choupi va au pot pour la 18ème fois de la journée (car oui, tout en étant un parent bienveillant pleinement conscient de l’importance de la répétition dans le processus d’appropriation du récit et d’apprentissage de l’enfant vous n’en restez pas moins un humain doté d’un stock de patience limité) ?!

L’école des loisirs a pensé à vous ! La célébrissime maison d’édition vous offre gratuitement quelques-un de ses Albums filmés, à visionner en ligne. Vous reconnaitrez ici le personnage fétiche de Mario Ramos dans C’est moi le plus beau.

Vous trouvez que vos enfants passent déjà (beaucoup) trop de temps sur les écrans ? Pas de problème, vous pouvez vous tournez vers la version podcast. France Inter propose ainsi gratuitement l’excellent Une historie et… OLI. Et hop ! 5 min de répit !

Si vous en avez encore l’énergie, vous pouvez profiter de ce temps mort pour boire un mojito fureter sur papapositive.fr, une véritable mine d’or pour les petits comme pour les grands. Vous y trouverez aussi bien les vidéos des albums de la série Quelle Histoire… mais aussi des propositions d’activités manuelles sans oublier des articles très intéressants pour aider les parents dans leur quotidien !!

Et pour aider les enfants dans l’accueil de leurs émotions durant cette période délicate, nous vous recommandons ce cahier imaginé par Isabelle Filliozat, et gratuitement mis à disposition par les éditions Nathan durant le confinement. A vos ciseaux, à vos crayons et à notre imagination ! Confiné, cultivé… apaisé !

La Médiathèque de Lattes est fermée jusqu’à nouvel ordre

  • La boîte de retour n’est plus utilisable pendant cette période
  • Conservez les documents que vous avez empruntés jusqu’à la réouverture de la Médiathèque, en ne tenant pas compte de la date de retour qui vous a été donnée lors du prêt
  • Évitez de vous déplacer

COVID 19 : nouveau service aux abonnés de la Médiathèque

« Afin d’agrémenter vos journées de confinement et finir de vous convaincre qu’il faut rester chez vous, nous vous proposons de vous amener à domicile des livres, DVD ou CD (3 documents maximum) par l’intermédiaire de vos élus de quartier.
Pour ce faire vous pouvez contacter les agents de la Médiathèque les vendredis et mercredis de 9h à 12h afin qu’ils vous aident à faire votre choix au 04-67-22-22-31 ou leur envoyer un mail à mediatheque.lattes@gmail.com.
Une fois votre choix effectué, les élus municipaux vous amèneront vos commandes le vendredi après midi et le mercredi après midi.
N’oubliez pas de laisser votre dernière adresse et votre numéro de téléphone en cas de besoin.
Bon confinement à tous !

Cyril MEUNIER, le Maire « 

Afin de permettre au plus grand nombre de bénéficier de cette mesure, il a été décidé qu’un même adhérent ne pourrait emprunter par mail ou par téléphone que tous les 10 jours. Merci de votre compréhension.


 

 

Thématique « Japon » : nos coups de cœur…

Une sélection de romans adultes qui nous ont emballé, en lien avec la thématique Japon du 1er trimestre 2020 :

1. KONBINI DE SAYAKA MURATA ( COTE R. MUR)

Keiko travaille à temps partiel dans un konbini, une supérette de quartier ouverte vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Sa vie tout entière est vouée à son job. Employée modèle, mémoire de la boutique, elle est « une pièce du mécanisme », « un outil ». Il y a quelque chose de robotique dans sa dévotion professionnelle. Mais son instrumentalisation ne la gêne pas. Au contraire. Grâce au konbini, notre héroïne a trouvé sa place dans le monde. Sauf que Keiko approche de la quarantaine et qu’elle est célibataire. Au Japon on préfère les femmes de son âge, mariée, ou occupant un poste à responsabilités. Bien que vaguement consciente de sa situation, Keiko ne s’en préoccupe pas outre mesure. Jusqu’à l’arrivée d’un employé peu commode : Shirata…
Tranche de vie inspirée de la propre expérience de l’auteure, Konbini traite de la marginalisation dans une société japonaise où la pression sociale est si forte qu’elle confine à la violence morale. Pour s’en protéger certains adoptent des attitudes extrêmes : ils vivent en parasite au fond d’une baignoire ou trouvent un équilibre mental dans les rayonnages d’une supérette…
Un roman beaucoup moins léger qu’il n’y paraît, où s’entremêlent description du quotidien et questionnement existentiel, dans un style efficace et dépouillé.

2. LES MENSONGES DE LA MER DE KAHO NASHIKI (COTE R. NAS)

On a tendance à l’oublier : le Japon est un archipel d’îles qui s’étendent sur une vaste longitude. Les plus au sud bénéficient d’un climat chaud, ainsi que de coutumes singulières, teintées d’animisme. La réalisatrice Naomi Kawase en a donné un aperçu dans son film Still the water.
C’est dans l’une de ces îles méridionales, Osojima, que se déroule l’action des Mensonges de la mer. On y suit Akino, jeune professeur en géographie humaine, venu explorer les lieux pendant ses vacances. Nous sommes dans les années trente. Conversations érudites, rencontres amicales et explorations topiques vont constituer le programme des vacances d’Akino.
D’emblée, la description de l’île et de ses différents sites transporte le lecteur. À tel point qu’on ne sait plus s’il s’agit d’un endroit réel ou merveilleux. Le passé religieux de l’île, fait de superstitions, de constructions énigmatiques et de massacres entre bouddhistes et shintoïstes, contribue à créer une atmosphère mystérieuse, presque irréelle.
Mais quand Akino revient cinquante ans après son premier séjour, les infrastructures touristiques ont envahi l’île. La magie d’antan a disparu. Il ne reste que des souvenirs, des fantômes et des interrogations. Tout n’est que mirage, autrement dit « mensonge de la mer », selon l’expression locale. Peut-être même la vie…
Un livre riche, aux sujets abondants et aux réflexions variées.

3. QUAND LE CIEL PLEUT D’INDIFFÉRENCE D'IZUMI SHIGA (COTE R. SHI)

Le livre d’Izumi Shinga fait partie de ces ouvrages, représentatifs d’une certaine écriture japonaise, qui décrivent une brève incursion dans la vie d’un personnage, souvent narrateur de l’histoire. Il n’y a pas vraiment de début ni de fin, sinon la vie qui continue. Le style y est sans fioritures, mais non pas dénué de poésie. C’est la poésie du quotidien et de la simplicité.
En l’occurrence, le quotidien de Yohei a pour décor la ville d’Okuma, dévastée par le tsunami de 2011 et l’accident de Fukushima qui s’ensuivit. Là, les morts côtoient les survivants, par leurs cadavres abandonnés dans les décombres, mais aussi par le souvenir…
Pourquoi Yohei reste-t-il malgré les injonctions des autorités ? Parce que sa mère se trouve à Okuma. Gravement malade, elle ne peut pas être déplacée. Mais la dévotion filiale de Yohei ne cacherait-elle pas autre chose ? Cette autre chose n’aurait-elle pas un rapport avec la petite Misuzu qu’il a connue enfant ?
La gamine possédait un paon.
Dans la quête de sens de Yohei, face à l’inacceptable réalité, l’oiseau devient une figure symbolique. Il fait office de lien. Les situations et les époques entrent en résonance. Par un magnifique jeu de miroirs, la double catastrophe naturelle et nucléaire devient une allégorie du parcours de Yohei, lui-même allégorie de la catastrophe.
Le calvaire présent de Yohei prend des allures de rédemption. L’homme règle ses comptes avec les drames de l’existence, avec la ville dévastée et sa mère tout aussi dévastée par l’âge.
Quoi qu’il en soit, la vie continuera.
Elle pourrait bien prendre les traits d’une certaine Reiko Mimura…

ET AUSSI :
- Les délices de Tokyo de Durian Sukegawa
- Le restaurant de l'amour retrouvé de Ito Ogawa
- La péninsule aux 24 saisons de Mayumi Inaba

 

Acquisitions documentaires adultes – février 2020

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Il est l’or, monseignor ! L’or du réassort…
… oui, c’est vrai on vous l’a déjà faite avec les nouveaux romans !

Mais ça marche aussi avec les documentaires, vu qu’on vous avez annoncé un réassort pour les deux !

Là encore, la part belle a été faite aux suggestions des adhérents.
Au final, la quinzaine d’ouvrages présentés couvre un large éventail de sujets allant de l’atlas historique à la disparition de la nuit, en passant par l’exploitation des forêts, l’origine du sida ou la Renaissance des Médicis !
Tout un programme !

Acquisitions littérature adultes – février 2020

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Il est l’or, monseignor ! L’or du réassort !
Et qu’y trouve-ton dans ce réassort ?

Des suites de séries très attendues : Le cup-cake café de Colgan ; Outlander de Gabaldon ; Les détectives du Yorkshire de Chapman…
De nouvelles séries tout aussi prometteuses : Virgin River de Carr ; les Lames du Cardinal de Pevel…

Il y a ensuite un bon nombre d’ouvrages suggérés par nos adhérents. Étonnement, la plupart sont des classiques : American psycho d’Ellis ; Mange, prie, aime de Gilbert ; Le mur invisible de Haushofer ; Lonesome dove de MacMurty…

Bref ! Au total, une quarantaine de nouveaux livres, à rapprocher de la cinquantaine livrée début janvier, ce qui nous fait presque une centaine de nouveautés en tout juste deux mois !
Avec ça, l’année ne fait que commencer !

Coup de ♥ DVD : 303 x OH LUCY ! x RETOUR DE FLAMME

L’amour, c’est mieux à trois.

N’y voyez là rien de scandaleux, c’est juste qu’à la médiathèque de Lattes, quand on aime on ne compte pas ! Cette fois-ci ce ne sont donc pas un, mais trois films qui ont conquis nos cœurs ces dernières semaines. Et puis ne dit-on pas : 1+1 = 3 ?!

… ou plutôt 303. Derrière ce drôle de titre se cache une pépite de fraîcheur : un road trip à travers l’Europe, de l’Allemagne jusqu’au Portugal, en passant par la Belgique et la France. Et oui, 303 n’est pas une référence à un quelconque numéro de chambre d’hôtel mais bien au modèle de van dans lequel Jule, une étudiante idéaliste, et Jan, un jeune auto-stoppeur, vont voyager, s’affronter, se confronter, se réconcilier… Car que fait-on en voiture sinon discuter ? Dans ce cocon hors du temps Jan et Jule vont parler, parler, parler… de tout, de rien, mais au fond, d’eux ; au rythme bucolique des paysages champêtres et des lieux traversés ils vont débattre : de la mort, de la vie, de l’amour. Jusqu’à une magnifique scène de baiser, d’une délicate sensualité…  Servi par une photographie très 70’s, le film baigne dans une atmosphère empreinte de douceur et nous laisse complètement chaviré…

De road trip sentimental aussi, il est question dans Oh Lucy !. Où l’on suit Setsuko, une tokyoïte dont la vie terne et solitaire va brusquement s’ouvrir à la fantaisie à la faveur d’une improbable rencontre avec un professeur d’anglais aux méthodes peu orthodoxes (Josh Harnett, à contre-emploi). Quand ce dernier disparaît du jour au lendemain, Setsuko part à sa recherche et embarque sa sœur dans une quête qui la mènera jusqu’à la Californie… Sur fond de choc des cultures (ressort toujours efficace à la cocasserie, dont le climax figure ici dans la scène du cours d’anglais. Une leçon d’où notre héroïne ressortira affublée d’une improbable perruque blonde !), le film dépeint les 1001 nuances de l’amour. Autant de touches de couleurs dans un monde citadin largement dominé par le gris, les tons sourds et éteints. Voir peu à peu cette femme s’épanouir et se révéler à elle-même nous rappelle à quel point l’amour peut nous ramener à la vie, pour le meilleur…

… et pour le pire. Ce pire-là que goûtent Marcos et Ana, c’est celui du nid vide, de l’usure du temps, des sentiments qui se fanent, de l’indifférence qui s’installe, des conversations qui se meurent… Marcos et Ana, 25 ans de mariage et une séparation au bout du compte. Mais comment faire face à soi après une vie passée à deux ? Au-delà du seul thème du divorce (tracasseries administratives et autres joyeusetés incluses) se profile celui de la crise existentielle et, à ce titre, le film pose une question cruciale : l’individu est-il soluble dans l’eau de vaisselle du couple ? Épineuse question, que Juan Vera, le réalisateur, se laisse le temps d’explorer. Scrutant les mouvements infimes, les hésitations et le pas de deux de ses personnages sur plusieurs années. Se séparer pour mieux se retrouver ? A chacun ses secrets…

Références
303, de Hans Weingartner (2018)
Cote : F WEI
Référence
Oh Lucy !, d'Atsuko Hirayanagi (2017) 
Cote : F HIR
Référence
Retour de flamme, de Juan Vera (2018) 
Cote : F VER

Périodiques à l’essai…

Toujours désireuse de se renouveler, la Médiathèque de Lattes propose à ses adhérents de tester trois nouveaux magazines, qui ne font pour l’instant pas partie des abonnements réguliers.
Un numéro de chaque est disponible à l’emprunt et à la réservation, suivant les conditions habituelles :

LA TRIBU DES IDÉES n°8 de janvier-février-mars 2020

Un magazine consacré aux activités manuelles à réaliser en famille ! Plus d'infos sur le site de l'éditeur.

Accessible au secteur jeunesse, sur le portant des nouveautés enfants !
LE JOURNAL DE MICKEY n°3528 du 28 janvier 2020

Le célèbre hebdomadaire des 7-14 ans, toujours au top depuis plus de 80 ans ! BD, actu culturelle, jeux : plus d'infos sur le site de l'éditeur.

À découvrir au secteur jeunesse, sur le portant des nouveautés pré-ados !
OXYTANIE n°3 de décembre 2019 - janvier - février 2020

Un tout nouveau magazine adulte consacré à la région Occitanie : initiatives locales, développement durable, culture... plus d'infos sur le site de l'éditeur.

Présenté au secteur adulte sur le portant des nouveautés !
Empruntez-les, testez-les, dites-nous ce que vous en pensez et qui sait ? nous nous y abonnerons peut-être !

 

Acquisitions DVD – janvier 2020

Si nous avons choisi d’illustrer la couverture de notre dernière liste de nouveauté par une photo tirée du dernier film de Quentin Tarantino, ce n’est pas pour la plastique ni pour la gueule d’ange de Brad Pitt (quoique… ce dernier prouve que, à l’instar du cinéma, on peut avoir passé l’âge de jeune premier et encore porter beau ! – ce qui vient servir notre propos à brûle-pourpoint).

Non, si Once upon a time in Hollywood s’est imposé à nous, c’est avant tout parce que ce film est une déclaration d’amour au cinéma et à son histoire. Truffé d’hommages et de références*, il donne envie de se replonger dans les archives du 7ème art…
Car on peut être l’un des réalisateurs les plus pop de ces dernières décennies, et assumer – voire revendiquer – un solide héritage culturel. La culture, ce terreau qui nous relie, dans lequel plongent nos racines et fertilise notre imagination…

Voilà pourquoi nous continuons (et nous continuerons) à acheter et mettre à votre disposition des films en noir et blanc, des films muets, des films indépendants, bref, des introuvables sur les plateformes… Pour apprécier le présent (et nos dernière nouveautés !) dans toute sa richesse, n’oublions pas le passé !

* à ce sujet nous vous conseillons ce passionnant documentaire RIP ! : manifeste en faveur du remix, de Brett Gaylor (cote : 306.1 GAY), qui explore la question du droit d’auteur dans l’ère numérique, en faisant tomber les barrières entre consommateurs et créateurs de produits culturels…

Pour consulter l’intégralité de la liste des nouveautés, cliquez ICI !

 

Retour sur les écoutes musicales « Nuit de la lecture – Soyez sympas, rembobinez ! » du 18 janvier 2020

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Après les agapes nippones, il a été tenté de ramener un calme précaire avant la tempête musicale. Le principe de Soyez sympas, rembobinez ! n’est pas de « suéder » les morceaux de musique effacés (un CD est plus résistant qu’une VHS…) mais de passer en revue les 992 titres déjà écoutés lors de 10 ans d’Audiofil en picorant de quoi écouter toute la nuit .
Toute ? Presque.  Le combat cessa vers 3h00 du matin après moult arguments et commentaires, tous plus endiablés les uns que les autres, à défaut d’être toujours pertinents…
Le tout entrecoupé d’arrêts-buffet de bon aloi et de sessions guitare-chant impromptues pour reprendre souffle et oreilles.

Merci aux participants et… à l’année prochaine ?

 

Thématique BD « Angoulême 2020 » – janvier 2020

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Le 29 janvier dernier, le festival d’Angoulême décernait son Grand Prix à Emmanuel Guibert pour « l’ensemble de son oeuvre et son empreinte sur l’histoire de la bande-dessinée ».

Scénariste des séries jeunesse Ariol et Sardine de l’espace, pour lesquels il a notamment collaboré avec Joann Sfar, Guibert s’est aussi distingué en participant à des ouvrages adultes comme la trilogie Le photographe, évoquant une authentique mission humanitaire en Afghanistan.

L’ensemble de ces titres est présenté sur la table thématique que la Médiathèque de Lattes dédie à l’artiste, ainsi qu’aux deux autres auteurs ayant concouru avec lui pour la finale du Grand Prix d’Angoulême  : la française Catherine Meurisse et l’américain Chris Ware.

 

A vos agendas !

musicplanete
Écoutes musicales

samedi 7 mars 2020 à 10h15

Rendez-vous dans l’espace Musique & Ciné de la Médiathèque pour 2h de découverte et de partage autour de la musique !

♫ Les écoutes musicales, ce sont 2h consacrées à l’écoute d’extraits de morceaux de musique de tous les genres, de toutes les époques et de tous les continents. Chaque audition est suivie d’une explication / analyse et d’un échange avec les participants. Public adulte. Réservation au 04.67.22.22.31. ♫