Thématique : vigne, vin & cinéma

 

« Le vin n’est jamais si bon que quand on le boit avec un ami » (proverbe chinois) ; nous pourrions ajouter « le cinéma non plus » ! Car s’il est bien une chose que partagent le vin et le cinéma, c’est le pouvoir de rapprocher les gens et de délier les langues. L’un comme l’autre ne peuvent d’ailleurs s’apprécier à leur juste valeur qu’en bonne compagnie ! A bon entendeur…

Pour retrouver la filmographie complète, cliquez ici !

 

Coup de ♥ BD adulte : CULOTTÉES de Pénélope Bagieu

À l’heure où certain.e.s balancent leur.s porc.s, il est urgent de se repencher sur les destins hors du commun d’une trentaine de femmes d’exception dans cette bande-dessinée de Pénélope Bagieu, qui a été l’un des plus gros succès de ces dernières années.
Même s’il parait ahurissant de voir encore ranger de manière thématique cette « minorité » qui ne compte que la moitié de l’humanité (excusez du peu…), il est toujours bon de rappeler les bâtons et objets divers que les sociétés patriarcales, voire machistes, ont mis (on pourrait garder le présent) dans les roues des femmes.
Si les plus connues croquées par Bagieu vous diront quelque chose (Joséphine Baker, Hedy Lamarr, Betty Davis -mais si, vous savez bien, la femme de Miles-) la plupart sont demeurées invisibles et inconnues du grand public.
Malgré son talent à synthétiser, à fixer l’anecdote, avec le graphisme rapide et efficace qu’on lui connait, Bagieu est condamnée à voir le fond l’emporter infiniment sur la forme dans les deux volumes que compte son œuvre, une publication si nécessaire qu’elle devrait être remboursée par la Sécu…
À lire séance tenante ! Il y a quelques siècles à rattraper…

Extraits à lire sur le site de l’éditeur : tome 1, tome 2

 

Coup de ♥ littéraire sur le thème des FEMMES SAVANTES, version jeunesse

CALPURNIA DE JACQUELINE KELLY (COTE J. KEL)

« C’est étonnant tout ce qu’on peut voir quand on reste simplement assis en silence, et qu’on regarde autour de soi. »

Le moins que l’on puisse dire, c’est que Calpurnia, l’héroïne du roman de Jacqueline Kelly, porte un prénom inhabituel. Il y a bien une épouse de César qui s’appelait Calpurnia. Et une aïeule de la famille Addams, « brûlée pour sorcellerie en 1706 », si l’on en croit Morticia Addams dans le premier film de Sonnenfeld…
Que l’on se rassure, notre petite texane de « presque douze ans » ne connaîtra pas le même sort ! Seule fille d’une fratrie de sept enfants, l’été 1899 sera pour elle le théâtre d’une véritable épiphanie. Partant de l’observation des sauterelles, Calpurnia va se découvrir une âme de naturaliste. Elle sera encouragée dans ce sens par son grand-père, personnage fantasque et savant, qui l’initiera aux théories de Darwin.
Le quotidien de Calpurnia, c’est aussi celui de toutes les fillettes aisées de son époque : l’école, les leçons de piano, les repas en famille, les chamailleries avec ses frères, la pression maternelle pour la transformer en parfaite candidate au mariage. Sous des extérieurs innocents et puérils, les actes journaliers de Calpurnia laissent transparaître les réalités plus sombres de son temps : la guerre de Sécession, l’esclavagisme et surtout la condition féminine.
Le siècle nouveau, avec son cortège d’innovations technologiques, redistribuera-t-il les cartes ? Calpurnia y compte dessus pour échapper à la vie conjugale et se consacrer à la science.
Un roman jeunesse intelligent, rafraîchissant, qui change des sempiternelles aventures magiques et fait revivre avec douceur ce coin d’Amérique d’un autre siècle.

Egalement disponible dans votre Médiathèque au rayon Bande-dessinée :
Calpurnia, la bande-dessinée
Mise en images par Daphné Collignon
Cote : BD CAL 1

Coup de ♥ littéraire sur le thème des FEMMES SAVANTES, version adulte

PRODIGIEUSES CRÉATURES DE TRACY CHEVALIER (COTE R. CHE)

« Il est parfois extrêmement assommant d’être une dame. »

Qu’attendre de la vie lorsqu’on est une femme du début 19ème ?
Un bon mariage, à défaut d’un bon mari.
Mais quand on est une femme sans grandes ressources, et pas très jolie de surcroît ?
La disgrâce. L’exil à la campagne. L’étiquette de vieille fille qui vous colle à la peau tel un maléfice sclérosant.
C’est ce qui arrive aux sœurs Philpot dans Prodigieuses créatures, roman de Tracy Chevalier. Pour les Philpot pas de campagne comme point de chute. Direction la petite ville côtière de Lyme Regis, au sud de l’Angleterre.
Si Margaret, la benjamine, désespère de se faire passer la bague au doigt, Elizabeth, elle, accepte froidement son sort.
Cependant, que faire de sa peau de vieille fille ? Se trouver un passe-temps salvateur.
Pour Elizabeth, ce sera la chasse aux fossiles. Cette activité la rapprochera de la toute jeune Mary Anning, véritable prodige en la matière.
C’est l’histoire de l’amitié entre ces deux femmes, qui ont réellement existé. Une amitié qui n’est pas exempte de tumultes. Mais qui est portée par quelque chose de plus grand que les petites mesquineries humaines : la passion pour la paléontologie naissante. Cette passion commune permettra à Mary de se rendre célèbre en découvrant les premiers spécimens de dinosaures marins.
C’est aussi l’histoire de la condition féminine à une époque où les femmes restent la propriété des hommes. Une époque contemporaine de la romancière Jane Austen, habilement évoquée dans le texte. On serait d’ailleurs tenté de voir en Prodigieuses créatures une oeuvre de Jane Austen elle-même. Pour la chronique sociale du 19ème siècle anglais et le style châtié d’Elizabeth, le livre alternant les points de vue des deux héroïnes. Mais ces dernières sont trop féministes pour être « austeniennes », trop assumée pour Elizabeth, trop rugueuse pour Mary. Ce qui les rend aussi plus attachantes.
Une œuvre magnifique, à la fois historique et profondément humaine.

Lectures de l’été 2019 : nos suggestions…

2. C'EST COSY CHEZ VOUS...

Pour tous ceux qui aiment les bons vieux romans policiers façon Agatha Christie, la tout aussi bonne vieille Angleterre avec son humour pince-sans-rire, ses jolis coins de campagne et son inévitable tea-time, voici un style littéraire qui fait florès ces derniers temps : le cosy mystery !

Un meurtre à élucider, une petite communauté bien sous tous rapports, une sympathique mamie friande d’enquêtes criminelles : voici les quelques éléments qui ont permis de fixer les codes du genre. Ceux que l’on retrouve dans les aventures de l’inoxydable Miss Marple ou de sa contemporaine plus discrète, Miss Silver.

Des séries plus récentes telle qu’Agatha Raisin permettent de dépoussiérer le genre tout en respectant le cocktail de base : humour-satire sociale-enquête policière gentillette.

Œuvres disponibles en rayon :

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À propos d’Agatha Raisin, voyons ce qu’en pense Thibault, notre saisonnier du mois d’août :
« Agatha Raisin trouve son inspiration dans l’univers de Miss Marple. L’auteur, M. C. Beaton, tisse des intrigues qui se déroulent dans un petit village anglais où tout le monde se connaît.
Il y a de nombreux personnages aux caractères bien trempés et tout se passe à huis-clos. Là où Agatha Raisin se distingue, c’est que l’enquête est mise en retrait au profit de l’humour. Les titres en témoignent : La quiche fatale, Remède de cheval
L’héroïne est une quinquagénaire qui prend une retraite anticipée et part s’installer dans les Costwolds. Personnage truculent et haut en couleur, qui n’a pas sa langue dans sa poche, elle va devenir détective amateur et résoudre les enquêtes au cours des quelques vingt livres que comptent déjà la série (et l’auteur continue d’en écrire !). Des livres faciles à lire, divertissants et terriblement addictifs !
En résumé, chers adhérents, lisez du Agatha… et mangez du Raisin ! »

Egalement disponible dans votre Médiathèque, au rayon Cinéma :
Agatha Raisin, la série télévisée, saison 1
Avec Ashley Jensen, plus déjantée que jamais !
Cote : F AGA

Coup de ♥ DVD : NO GRAVITY, de Silvia Casalino

Parler de la conquête spatiale au féminin reviendrait-il à conjuguer science et fiction ? C’est pourtant bel et bien la réalité : les femmes ont joué un rôle de choix dans les aventures extra-terrestres de l’humanité. En témoigne la réalisatrice de ce film passionnant, Silvia Casalino, elle-même ingénieure spatiale au Centre National d’Etudes Spatiales (CNES).

Mêlant réflexion personnelle, images d’archives, interviews, et extraits de films (dont La femme sur la lune (1929 !) du visionnaire Fritz Lang), ce documentaire s’emploie à rétablir une vérité historique en donnant la parole aux pionnières de la conquête spatiale. Les interviews de Claudie Haigneré, Mae Carol Jemison*, Jean Nora Jessen** ou Adilya Kotovskaya*** mettent ainsi en lumière cette « face cachée de la lune ». Mais, au-delà du seul témoignage historique, la réalisatrice propose une relecture féministe des technosciences en s’appuyant sur les théories développées par Donna Harraway. Cette primatologue et philosophe américaine, dont la pensée est à l’origine du  cyberféminisme, s’emploie ainsi depuis les années 70 à dénoncer le poids du patriarcat et l’omniprésence d’une hyper-normativité des modèles dans le domaine des technosciences.

Au final, le travail de Silvia Casalino aboutit à cette question aussi fondamentale qu’universelle qui, au-delà du seul cas des femmes, touche l’humanité dans son ensemble : comment concevoir les technologies de façon à mieux prendre en compte la multitude et la diversité au lieu de toujours nous réduire à un seul et unique standard ?

* 1ère femme afro-américaine à avoir été dans l’espace, ellea également fait un caméo dans un épisode Star Treck

** elle a participé au programme de recrutement de femmes astronautes lancé dès 1959 par le Dr Lovelace. Le projet sera brutalement interrompu. Au final ce sera la russe Valentina Terechkova qui sera la 1ère femme à voyager dans l’espace.

*** docteur en physiologie et médecin de Gagarine

Référence
No gravity, de Silvia Casalino (2011)
Cote : 305.4 CAS
Ce DVD est actuellement mis en avant sur la table thématique dédiée à Appollo 11.

Tout chaud !

 

Une nouvelle étape dans notre voyage à la rencontre des arbres remarquables de Lattes est désormais disponible : découvrez les micocouliers du parc Biquet en cliquant sur l’image ci-contre.
Un grand merci à l’association « Lattes en transition » et à la Maison de la Nature, sans qui cette aventure n’aurait pas été possible !

 

Vous pouvez également accéder à cette ressource documentaire via la rubrique CONSERVATION & ARCHIVES du menu.

 

Lectures de l’été 2019 : nos suggestions…

1. WOUAW !!! I FEEL GOOD...

Vous avez été nombreux/euses à apprécier notre thématique de l’année dernière sur le roman feel good… mais aussi déçus/es de ne pas la retrouver sur nos tables cette année !

C’est pourquoi nous vous proposons un petit récapitulatif des romans feel good acquis depuis l’été dernier, au cas où vous souhaiteriez profiter des grandes vacances pour continuer d’explorer ce style littéraire sympathique et léger :

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À dénicher directement dans nos rayons !

 

Thématique « Apollo 11 » – juillet 2019

 

À tous ceux qui ont la tête dans les étoiles, qui viennent d’une autre planète ou qui ont tendance à être dans la lune, la Médiathèque de Lattes propose une thématique sur la conquête spatiale pour célébrer les 50 ans de la mission Apollo 11.
De quoi atteindre le 7ème ciel et plus si affinités !

Documentaires adultes :

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Documentaires jeunesse :

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cinéma :

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Musique :

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Bandes dessinées :

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En bonus, quelques photos de la petite expo que le chef vous a concoctée pour l’occasion :

 

Retour sur les écoutes musicales du 29 juin 2019 (Audiofil 080)

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La compétition tant attendue vient de s’achever et le résultat est tombé…
Non, nous ne parlons pas de football féminin mais de blind-test dans le cadre des Audiofils (le n°080).
Cette année, le vainqueur est une « vainqueuse » : Audrey, qui a mis la pression dès le départ, mené de bout en bout et remporté la victoire haut la main et l’oreille. Certains en sont encore tout chafouins, impressionnés et abasourdis (nous disons bien certains et pas certaines… le masculin est de circonstance !).
Bravo à Audrey.

Pourtant rien d’insurmontable dans ce choix plutôt classique (fait par les participants !) où se côtoyaient Copland et Bruckner, Auric et Wagner et où un Legrand a pu en cacher un autre. La fauvette des jardins a apparemment posé problème à tous, et des pièges étaient tendus, prêts à se refermer sur l’auditeur.

Schlack ! Vicieux ce Who chanté par le bassiste, taquin ce Peter Gabriel peu connu, rappé par deux autres interprètes, et piégeant ce Lockwood déjà entendu deux fois et qu’on a sur le bout de la langue.
Alors, au vu de la playlist, combien en auriez-vous trouvés ?

La nouvelle saison des écoutes musicales débutera en principe le 23 novembre. Oui vous avez bien lu. C’est loin, c’est tard, beaucoup plus que d’habitude, contretemps divers et variés obligeant !
D’ici là, bonnes vacances, bonne rentrée, joyeux Halloween et tout le toutim !

 

Nouvelle référence magazine : CUISINE ET VINS DE FRANCE

Notre fournisseur de périodiques est très généreux : il nous a offert un abonnement gratuit d’un an au magazine Cuisine et Vins de France !

Et qui est-ce qui va en bénéficier ? Nos adhérents préférés, bien sûr !
Du moins les plus gourmands d’entre eux !

À déguster sans modération au rayon Adultes !



Début de l'abonnement :
numéro 189 de juillet et août 2019 consacré aux saveurs de l'été

 

Retour sur les écoutes musicales du 15 juin 2019 (Audiofil 079)

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Les 79èmes écoutes musicales, le 15 juin dernier, déroulées se sont.

Bon… nous reprenons de suite la parole et le flambeau à Maître Yoda car il est sympathique mais un peu pénible à suivre. La thématique de l’audiofil a donc été, vous l’aurez deviné, Star Wars. Plus exactement, Thibault nous a décortiqué la bientôt nonalogie de George Lucas et consorts sous l’angle de la musique et du fameux (faux) retraité John Williams.

Nous avons abordé les thèmes récurrents attachés aux personnages (des leitmotiv, comme chez Richard Wagner), les variations, le rôle des instruments, les orchestrations et rebondi de trilogie en trilogie. Les détails techniques ont côtoyé les anecdotes et le tout baignait dans la force des notes, une évidence dès lors qu’on s’affranchit des images.

Encore bravo à Thibault pour son travail précis et encyclopédique.

Enfin, rendez-vous final de la saison des écoutes musicales pour le blind test qui démarrera – attention – à 10h00 pétantes. Les retardataires marqueront moins de points…

 

 

Coup de ♥ DVD : MIRAI, MA PETITE SOEUR, de Mamoru Hosoda

Japanime : un mot-valise pour un coup de cœur dépaysant ! Mirai, ma petite sœur, nous vient en effet tout droit du Japon, où le film d’animation est une industrie (qui a bercé l’enfance de toute une génération à coup de kamehameha ravageurs) mais aussi un art à part entière, avec ses réalisateurs stars et ses studios phares.

Passé par le mastodonte Toei Animation (à qui l’on doit les cultissimes Dragon Ball, Sailor Moon ou plus récemment One piece) et par les studios Ghibli, Mamoru Hosoda a longtemps été considéré comme l’héritier de Miyazaki. Si son trait se rapproche effectivement de celui du Maître, il a su développer un univers à part entière, qui mêle l’imaginaire à l’ordinaire pour en révéler toute la poésie*.

C’est finalement cet art de la nuance qui caractérise le mieux l’œuvre du réalisateur. C’est ainsi que, dans un pays fortement marqué par l’antagonisme entre tradition et modernité, Hosoda refuse la confrontation et lui préfère la synthèse : si le titre du film, Miraï, signifie avenir, c’est à l’ancienne qu’il travaille ses dessins, tous minutieusement réalisés à la main. La finesse du trait n’a d’égal que la précision des détails : la maison, modèle de réalisme (dont le plan a été travaillé avec un véritable architecte !), va paradoxalement devenir le théâtre de l’imagination du petit Kun, tout juste promu grand frère, et qui voit l’arrivée de sa petite sœur Miraï d’un mauvais œil…

Mais au-delà de Kun et de son attendue jalousie, c’est chacun qui doit trouver sa place au sein de la famille. Une des forces du film réside d’ailleurs dans cette honnêteté : une naissance est un séisme pour les enfants autant que pour les adultes. Aucune difficulté n’est éludée : fatigue des parents, crises de colère de l’enfant, logistique**… Chaque problème est traité avec toute l’attention et la légitimité qu’il mérite, sans manichéisme, permettant une totale empathie avec chacun des personnages.

Foisonnant, Miraï, ma petite sœur, aborde également en filigrane des thèmes aussi variés que le handicap, la guerre, la filiation…

Un film d’une grande finesse et d’une rare humanité, à partager en famille !

* C’est ainsi que le groupe LVMH s’est alloué les services de ce réalisateur connu et reconnu pour signer un (très joli) spot publicitaire pour sa marque Louis Vuitton. Car le propre du luxe n’est-il pas de faire rêver le commun des mortels (et ainsi d’accessoirement s’assurer l’audience la plus large possible dans cet el dorado financier que représente le Japon pour le très prosaïque secteur du luxe…).

** c’est assez rare pour le souligner : c’est ici le père qui s’occupe des enfants et travaille à la maison tandis que la mère reprend le travail. A cet égard aussi le film fait preuve de modernité dans ses représentations.

Référence
Miraï, ma petite soeur, de Mamoru HOSODA (2018)
Cote : A HOS