Acquisitions DVD – mai 2021

Vous ne croyez pas au déconfinement ? Vous pensez que les bars et restaurants sont pris d’assaut ?

Restez chez vous et REGARDEZ UN DVD !

la prochaine fusion de TF1 et M6 vous fait froid dans le dos ? Vous ne supportez plus la platitude de Netflix et Amazon Prime ?

REGARDEZ UN DVD !

Pour cela, la médiathèque vous prépare une sélection de nouveautés

Voici notre dernière liste de nouveautés :

>>>liste des acquisitions DVD – mai 2021<<<

Fête des Mères : nos suggestions de lectures…

À l’occasion de la Fête des Mères, voici une quinzaine d’ouvrages illustrant la complexité du rapport filial et de la maternité :

version légère

Les romans feel-good abordent avec bienveillance et optimisme les étapes ordinaires ou dramatiques de la vie d’une mère. Naissance prématurée et départ des grands enfants chez Virginie Grimaldi, reconstruction du lien mère-fille chez Lorraine Fouchet, rapport avec l’enfant survivant après la perte de l’aîné chez Lori Nelson Spielman.

version grave

La disparition de la mère est une épreuve forcément bouleversante comme en témoigne Eric-Emmanuel Schmitt dans une véritable déclaration d’amour à celle qui lui a donné le jour. Blandine de Caunes et Michel Mompontet évoquent avec tout autant d’émotion la fin de vie des leurs, placée sous le signe funeste d’Alzheimer. Quant à Ocean Vuong, il adresse une lettre à sa mère analphabète pour raconter avec crudité et poésie les difficultés de se construire quand on est différent.

version atypique

Il y a mille et une façons d’être mère comme le prouve Marion Brunet avec son héroïne marginale et surprotectrice. Virginie Linhart essaie de comprendre comment le contexte socio-culturel façonne le rapport d’une génération à la maternité, et les dégâts que ce conditionnement engendre sur les suivantes. Kaori Ekuni raconte une mère idéaliste et fantasque, dont le mode de vie devient inacceptable pour l’enfant grandissant. Eliette Abécassis brode une histoire entre mère et fille dans le milieu de la mode, prétexte à de multiples réflexions. Dans un texte court et hybride, Elena Ferrante explore les dérèglements d’une mère rongée par la culpabilité. Enfin, Cécile Pivot évoque la dépression post-partum au travers des personnages de son roman épistolaire.

version historique

Dans la seconde biographie qu’elle lui consacre, Elisabeth Badinter explore la figure de Marie-Thérèse d’Autriche en tant que mère de seize enfants, parmi lesquels la future Marie-Antoinette. Clara Dupont-Monod s’intéresse à Aliénor d’Aquitaine, notamment dans les rapports qu’elle entretient avec son célèbre fils Richard Cœur de Lion. Plus cocasse, Isabelle Duquesnoy imagine les escroqueries d’une abominable marâtre à l’époque de la Révolution Française. Quant à Romain Gary, il mesure sa vie à l’aune de l’amour surdimensionné que lui porte sa mère.

N’hésitez pas à cliquer sur les couvertures des livres pour accéder à leurs fiches descriptives !

La playlist du moment : spéciale « Fête des Mères »

Vous les aimez ? Vous ne le leur dites pas assez ? C’est le moment ou jamais !

À l’occasion de la Fête des Mères, et de l’exposition de poésie qui y est consacrée, nous vous proposons cette gentillette playlist sur le thème des mamans.

Gentillette mais pas trop quand même. Parce qu’on y trouve autant de sucre que d’acide, d’allégro que de lamento, pour témoigner de toute la complexité du rapport à la mère.

Vous le constaterez par vous-mêmes : il n’y a que des vieilleries dans cette playlist. Mais ce sont des vieilleries qui ont au moins l’avantage d’êtres présentes à 85% dans nos rayons !

Pour lancer la playlist, cliquez sur la vidéo ci-dessus.
Pour connaître les détails des morceaux présentés, jetez un coup d’œil ci-dessous.

01

“Maman la plus belle du monde”
Luis Mariano
Tiré de l’album 20 chansons d’or, 2006


02

“Mother”
John Lennon
Tiré de l’album John Lennon / Plastic Ono Band, 1970


03

“Si maman si”
France Gall
Tiré de l’album Dancing Disco, 1977


04

“Mother”
Pink Floyd
Tiré de l’album The wall, 1979


05

“Maman”
Dorothée
Tiré de l’album Maman, 1986


06

“Mother’s day”
Fulanito
Tiré de l’album El padrino, 1999


07

“Les roses blanches”
Berthe Sylva
Tiré de l’album Anthologie de la chanson française enregistrée 1930-1940, 2007


08

“Mother”
The Police
Tiré de l’album Synchronicity, 1983


09

“La mamma”
Charles Aznavour
Tiré de l’album La mamma, 1995


10

“Mother”
Era
Tiré de l’album Era, 1996


11

“La maman des poissons”
Boby Lapointe
Tiré de l’album L’intégrale, 1998


12

“Mother and child reunion”
Paul Simon
Tiré de l’album Paul Simon, 1972


13

“Allô ! Maman, bobo”
Alain Souchon
Tiré de l’album Jamais content, 1977


14

“Mama”
Spice girls
Tiré de l’album Spice, 1996

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La poésie au rendez-vous pour la Fête des Mères

Face au marasme culturel engendré par la crise du covid, nos poètes locaux, menés par Monsieur Marc-Fabien Bonnard, ont décidé de se mobiliser autour du projet La poésie au rendez-vous.
2 expositions de poèmes ont déjà été organisées dans ce cadre, depuis le début de l’année 2021.
Après la Saint-Valentin et la Journée de la Femme, en voici une troisième consacrée à la Fête des Mères. Cette fois-ci, les membres de l’atelier d’écriture de l’association Ecri’Service se sont joints au projet.

Venez lire leurs poèmes sur les panneaux suspendus dans la Médiathèque, ou feuilletez le livret virtuel ci-dessous :

Et n’oubliez pas d’avoir une gentille pensée pour les mamans le dimanche 30 mai !

Acquisitions adultes – printemps 2021

Un arrivage de nouveautés printanières, c’est forcément agréable, beau, coloré, varié, rafraîchissant ! Pile poil ce qu’il nous faut en ces temps qui n’en finissent plus de se troubler !

Plus de 130 nouveaux ouvrages viennent égayer nos rayons. À noter que nous avons particulièrement mis le paquet sur les documentaires (34 au total), avec 6 manuels consacrés au très tendance DIY (Do It Yourself), mais aussi sur les livres en VO, parmi lesquels on trouvera 4 titres espagnols inédits !

Les amateurs de fiction y trouveront aussi leur compte avec plus de 80 romans proposant un bel assortiment de thèmes, des derniers nés très attendus (Eric Emmanuel Schmitt, Michel Bussi, Guillaume Musso, Camille Kouchner…) et de toutes nouvelles sagas (Hamish MacBeth, Bridgerton, La villa aux étoffes, Les sept sœurs).

Il ne vous reste plus qu’à FAIRE VOTRE CUEILLETTE !

 

Littérature adulte :

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Documentaires adultes :

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Littérature en VO :

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Littérature adulte : double coup de cœur FILS ET FILLE DE…

On connaissait les dynasties d’acteurs ou de chanteurs. Place maintenant à celles d’écrivains ! Les sorties récentes voient s’illustrer les rejetons de deux célébrités du monde littéraire. Le talent se transmet-il de génération en génération ? Verdict tout de suite :

 

1. LÀ OÙ LES ESPRITS NE DORMENT JAMAIS par Jonathan Werber

Dans la famille Werber, il y avait le père Bernard, connu pour sa Trilogie des Fourmis. Il faudra désormais compter sur le fils Jonathan qui semble partager avec papa un certain goût pour le paranormal. En témoigne son premier roman Là où les esprits ne dorment jamais, dont l’histoire se déroule dans l’Amérique du 19ème siècle. On y voit s’affronter les authentiques sœurs Fox, initiatrices du spiritisme, et les tout aussi authentiques frères Pinkerton, à la tête d’une célèbre agence de détectives privés. Ces messieurs veulent prouver que ces dames sont de viles charlatanes qui s’enrichissent sur le dos des foules crédules en leur divulguant de faux messages de l’au-delà. Où comment le match entre Pinkerton et Fox prend des allures de guerre des sexes, d’émancipation féminine. Ironie du sort c’est à une femme que revient la lourde tâche de les départager. L’illusionniste Jenny Marton est recrutée pour infiltrer l’entourage des sœurs Fox  et découvrir les trucs qu’elles utilisent lors de leurs séances. Sauf que plus l’enquête avance, plus les convictions de Jenny sont mises à mal. La solidarité féminine l’emportera-t-elle sur la vérité ?

Tout n’est pas vrai dans cet ouvrage où Werber fils réécrit l’Histoire de façon assumée. Il y a un suspense indéniable à mesure que l’enquête progresse. La question de la filiation est très présente avec les personnages de Jenny et des Pinkerton. Doivent-ils marcher dans les pas de leurs pères comme Jonathan Werber suit les traces du sien ?

On ne boude pas son plaisir de lecture malgré quelques tournures maladroites, dues à la jeunesse de l’auteur.

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2. LES LETTRES D'ESTHER par Cécile Pivot

Est-il encore besoin de présenter l’iconique Bernard Pivot, roi des apostrophes, dieu de la dictée ? Dans son avant-dernier ouvrage Lire, il écrivait en collaboration avec sa fille Cécile, journaliste et auteure à ses heures. Cette dernière nous revient en solo avec le roman Les lettres d’Esther, qui n’est certes pas son coup d’essai, mais qui pourrait bien s’avérer un coup de maître. Car bien que possédant les atours d’un énième feel good, le livre s’en démarque non seulement par sa profondeur, mais aussi par sa forme.
En effet, comme son titre l’indique, Les lettres d’Esther est un roman épistolaire. Autrement dit un recueil de lettres que vont s’échanger les participants d’un atelier d’écriture animé par ladite Esther. Les participants en question sont Jeanne, retraitée militante ; Samuel, adolescent endeuillé ; Jean, affairiste désabusé ; Juliette, maman dépressive, et Nicolas, son compagnon désemparé.

Chacun choisit deux destinataires parmi les autres, et y va de ses confessions, de ses doutes, de ses convictions par la seule magie de ce moyen de communication certes désuet, mais aussi plus intimiste que les réseaux sociaux. Les échanges s’entrecroisent. On a l’impression qu’on va s’y perdre, qu’on en préfèrera certains plutôt que d’autres, mais non, pas du tout, on se laisse porter, on replonge dans chaque histoire avec facilité, on éprouve de la sympathie pour tous les personnages, on les aime parce qu’ils sont imparfaits, qu’ils ont leurs fêlures et qu’ils nous ressemblent. Il y a beaucoup d’émotions dans ces lettres, de l’humour parfois, de l’amertume aussi. Les joies et les drames de la vie. La famille. Les difficultés relationnelles. La résignation face aux choses qu’on ne peut pas changer. La volonté de changer celles qui peuvent l’être.

Un roman dont on ressort avec une furieuse envie de se trouver un correspondant !

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Coup de ♥ musique : BANANA SKIN SHOES par Badly Drawn Boy

Dix ans sans nouvelles ! Qui attendait encore quelque chose de Damon Gough, ce garçon mal dessiné et mal dégrossi, gros nounours à bonnet qui nous avait offert quelques beaux albums studios mais aussi la bande originale du film Pour un garçon ?
Personne ou presque. Et pourtant, voici un album implacable qui le remet en selle après séparation et galères : une suite infernale de 14 titres sans le moindre moment pour souffler. De la pop qui tue, des mélodies plus fines qu’à l’habitude, des arrangements du même acabit… Un BDB (Badly Drawn Boy) sur-vitaminé qui a placé sa barre bien haut, et dont on apprécie le passage de la désinvolture à l’évidence.

Nous défions quiconque de rester insensible au joyau parmi les gemmes, le swinguant « Tony Wilson said », démonstration parfaite d’un couplet et d’un refrain divins, dissociés sur la même base rythmique et harmonique.

Étonnamment situé entre le défunt Elliott Smith et Keane, un album concept, inusable, impeccable.
À part la pochette au recto naïf et immonde, un retour parmi les vivants.

La playlist du moment : spéciale « Divas orientales »

Dans un article du 31 mars, le magazine Beaux-Arts attirait l’attention de ses lecteurs sur une future exposition de l’Institut du monde arabe consacrée aux Divas orientales.
Une nouvelle qui tombe à point nommé puisque la Médiathèque de Lattes propose actuellement une grande thématique sur l’Orient.
De là à la playlist spéciale, il n’y avait qu’un pas à franchir. Voici donc notre sélection de 15 Divas orientales, entre recommandations de Beaux-Arts magazine, classiques incontournables et favorites de votre équipe de bibliothécaires.
La majorité des titres présentés est disponible dans nos rayons au secteur Musique.

Pour lancer la playlist, cliquez sur la vidéo ci-dessus.
Pour connaître les détails des morceaux, c’est là-dessous que ça se passe :

01

“Salma ya salama”
Dalida
Tiré de l’album Dalida, 2000


02

“Kelmti horra”
Emel Mathlouthi
Tiré de l’album Kelmti horra, 2012


03

“Ya laure hobbek”
Fairuz
Tiré de l’album Immortal songs, 1993


04

“Ghir enta”
Soaud Massi
Tiré de l’album Deb, 2003


05

“Batwanes beek”
Warda
Tiré de l’album Arabian masters, 1999


06

“Habib galbi”
A-wa
Tiré de l’album Habib galbi, 2016


07

“Ya touyour”
Asmahan
Tiré de l’album Double best, 2013


08

“Dertli”
Azam Ali & Niyaz
Tiré de l’album Sumud, 2012


09

“Temma”
Oum
Tiré de l’album Daba, 2019


10

“Deniz yildizi”
Sezen Aksu
Tiré de l’album Deniz yildizi, 2008


11

“Avec le temps (version arabe)”
Sapho
Tiré de l’album Ferré flamenco, 2006


12

“Hal”
Yasmine Hamdan
Extrait du film Only lovers left alive, 2014


13

“Beautiful tango”
Hindi Zahra
Tiré de l’album Handmade, 2009


14

“Bahlam”
Natacha Atlas
Tiré de l’album Gedida, 1999


15

“Alf leila we leila (short version)”
Oum Kalsoum
1969

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Thématique « Autour de l’orient » – printemps 2021

 

l’initiative du secteur Bandes Dessinées, la Médiathèque de Lattes vous invite à découvrir une large sélection de BD, romans et DVD consacrée à l’orient, ses habitants, ses exilés, ses auteurs et ses réalisateurs.
Une grande diversité de styles, de contenus, de pays, vous fera voyager de Téhéran à Casablanca, des immeubles de Beyrouth dans les années 60 aux ruelles étroites de la Casbah d’Alger, de la rouge Marrakech aux rares plaines afghanes.

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Littérature jeunesse : nos coups de ♥…

1. ALMA, TOME 1 : LE VENT SE LÈVE par Timothée de Fombelle

Timothée de Fombelle est un habitué de nos coups de cœur. Nous avions été emballés par son diptyque Vango, narrant la quête d’identité d’un jeune homme entre-deux-guerres.
La magie opère à nouveau avec sa dernière série Alma. Encore beaucoup de voyages et d’aventures au programme, entre Afrique, France et Caraïbes. Encore un bond dans le temps, en 1786 cette fois-ci. Le tout au service d’un sujet grave : la traite des esclaves.
On retrouve dans ce roman une belle brochette de personnages, du premier aux seconds rôles. Tous sont travaillés et nuancés, comme Timothée de Fombelle sait si bien le faire. Noirs et blancs, héros ou antagonistes, tous sortent du clivage manichéen. Survie et opportunisme dictent leurs motivations plus que n’importe quelle autre valeur morale. Chacun a ses torts et ses raisons.

Trois axes narratifs se dessinent dans ce premier tome : l’un autour d’Alma, jeune africaine vivant avec sa famille dans une vallée isolée du reste du monde, souvenir d’une Afrique édénique et inviolée ; un deuxième autour de Joseph, matelot débrouillard et culotté, manigançant quelque obscure entourloupe sur un certain navire négrier ; le dernier autour d’Amélie, héritière rêvant d’émancipation, et dont le père, armateur à la Rochelle, possède le même certain navire négrier. On guette l’instant où ces trois-là se rencontreront…

Au final, Alma se révèle un subtil mélange entre L’île au Trésor de Stevenson et  Racines d’Alex Haley, entre roman d’aventures à l’ancienne et sensibilisation du jeune lectorat à l’esclavage. Avec en prime, les dessins de François Place, illustrateur et auteur à ses heures perdues, notamment du très étonnant La douane volante que nous vous recommandons également !

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2. L'ICKABOG par J. K. Rowling

Pour ceux qui l’ignoreraient encore, J.K. Rowling n’est autre que la créatrice de la plus célèbre série jeunesse de notre temps : Harry Potter.
Elle s’était juré de ne plus jamais publier d’œuvre à destination du jeune public. Heureusement pour nous, il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis ! Nous ne vous en dirons pas plus sur la genèse de L’Ickabog, l’auteure s’en charge elle-même au début du livre.

Ce qu’il faut retenir, c’est que L’Ickabog n’a absolument rien à voir avec l’univers d’Harry Potter. Conte allégorique, il se déroule dans le pays imaginaire de Cornucopia. Un pays prospère jusqu’au jour où la couturière du roi Fred meurt à la tâche. Le roi culpabilise. Pour soulager sa conscience, il décide d’accomplir une action d’éclat en faveur du peuple. Pourquoi pas chasser l’Ickabog, ce monstre fabuleux censé vivre dans les marais du nord ? Tout le monde sait qu’il n’existe pas et que le roi ne craint rien dans cette expédition. Sauf que les choses ne vont pas se passer comme prévu…

J.K. Rowling décrit avec une redoutable efficacité et une cruauté glaçante l’escalade de la terreur. Ou comment une nation entière bascule du jour au lendemain dans une dictature répressive et obscurantiste. Les personnages peuvent paraître caricaturaux. Mais ils le sont à dessein, comme dans tout bon conte qui se respecte. Ils incarnent les mauvais penchants de l’âme humaine qui rendent possible une telle horreur : la couardise du roi Fred, la cupidité du conseiller Crachiney, le grégarisme du peuple.

Une formidable lecture à plusieurs niveaux. Les plus jeunes y verront un divertissement à l’intrigue bien ficelée. Les plus âgés apprécieront la satire sociale qui trouve largement son écho dans l’actualité, où manipulation des foules et dérives extrémistes sont plus que jamais à l’ordre du jour.

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3. PROSPER REDDING, TOMES 1 & 2 par Alexandra Bracken

Vous considérez Tim Burton comme un dieu vivant du 7ème art  ? Vous avez usé jusqu’à rupture le DVD d’Hocus Pocus, Les trois sorcières dans votre enfance ? Vous avez dévoré toutes les saisons des Nouvelles aventures de Sabrina disponibles sur Netflix ?
Si vous obtenez au moins un « oui » au questionnaire ci-dessus, les deux tomes de la série Prosper Redding, par l’américaine Alexandra Bracken, sont faits pour vous.

Le sujet ? Prosper, adolescent incompris et mal dans sa peau, habite Redhood, sinistre bourgade voisine de la fameuse Salem. Sa famille descend directement des pionniers ayant fondé la ville au 17e siècle. Elle a acquis pouvoir et richesse au détriment des clans rivaux en pactisant avec le démon Alastor. Ne vous laissez pas berner par l’apparence vulpine et pelucheuse de ce dernier, c’est un vrai pervers !

Bien sûr, Prosper ignore totalement ce versant peu glorieux de l’histoire de sa famille. Jusqu’au jour où son ignoble grand-mère essaie de le sacrifier devant toute sa parentèle réunie. Mais pourquoi Mamie est-elle aussi méchante ? Parce que malgré lui, Prosper est possédé par l’affreux Alastor. Mamie est bien décidée à rompre une fois pour toute le pacte liant le démon à sa famille, quitte à zigouiller sa propre descendance. Commencent alors pour Prosper la fuite, la planque, les interrogations, sous l’autorité d’un oncle débarqué d’on-ne-sait-où et de sa fille Nell, sorcière en herbe…

Ambiance d’Halloween, humour volontiers scatophile et rebondissements à gogos. Sans oublier une visite guidée des enfers dans le deuxième tome… avis aux amateurs de 12 ans et plus !

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Acquisitions DVD – février 2021

Après le confinement, déconfinement, reconfinement, le couvre-feu et les gestes barrières, la méthode approuvée par 100% des scientifiques, c’est encore de  regarder un bon DVD chez soi.

Pour cela, la médiathèque vous propose près d’une centaine de nouveautés en documentaires, fictions et séries.

Voici notre dernière liste de nouveautés :

Liste des acquisitions DVD – février 2021

Nouvelle référence magazine…

La Médiathèque de Lattes étend son offre d’ouvrages en gros caractères en s’abonnant au mensuel Mieux Voir, spécialement conçu pour les lecteurs souffrant de déficience visuelle : papier et typographie adaptés, sélection d’articles variés en lien avec l’actualité, dossiers vision…


Début de l'abonnement :
numéro 268 du mois de février 2021

À retrouver tous les mois au rayon gros caractères du secteur Adultes !