Faire, défaire, refaire… Il y quelque chose de l’ordre du mythe dans la notion de remake. On pourrait d’ailleurs voir dans cet inlassable travail de réinterprétation le tissage d’une grande toile cinématographique, qui formerait un vaste réseau de résonances entre les œuvres, les réalisateurs, les époques et les continents.
Incursion dans un (mauvais ?) genre à part, situé à la croisée entre intérêt mercantile, projet artistique et plaisir de cinéphile…