Record d’assistance pour l’Audiofil 099 : 18 personnes ! Et pas trop dissipées.
Nous avons pratiqué l’Auto-Tune léger (Lous & the Yakuza) et la musique électromagnétique (Luciano Berio).
En plus classique, Francis Poulenc parut trop lent, Doreen Carwithen trop fouillée. Chick Corea impressionna par sa chanteuse (mais trop long au Moog solo), Atoll plut malgré son son imparfait. Daniel Pemberton et sa bande originale de la série Dark crystal furent trouvés trop sombres. Par contre, Marc Anthony et sa salsa romantica déclencha une quasi hola d’approbation pour son titre entre romance pour midinettes et salsa pure, au son, pour le coup, d’enfer.
Forever Pavot, un garçon tombé tout petit dans les années 70, ravit ceux ayant fait de même avec sa chanson rock très Cosma / Gainsbourg / Roubaix…
Enfin Françoise clôtura la session avec un éclairage d’un classique cent fois repris, cette marche funéraire, pas triste : le fameux « St James Infirmary » aux paroles très ambigües. Elle le replaça dans l’histoire du jazz et dans sa mémoire personnelle. Et l’illustra de deux versions : Louis Armstrong de 1928 et Hugh Laurie (moui moui, ce bon Dr. House) de 2011 et le moment fut très émouvant.