Tsukiko rencontre par hasard, dans le café où elle va boire un verre tous les soirs après son travail, son ancien professeur de japonais. L’histoire qui va se tisser entre eux est si simple qu’il est difficile de dire pourquoi on ne peut la quitter. Peut-être est-ce l’air du bonheur qu’on y respire, attaché à des choses si ténues qu’elles se volatilisent quand on essaie de les toucher : la cueillette des champignons, les poussins achetés au marché, la fête des fleurs, les vingt-deux étoiles d’une nuit d’automne…