En plein été, au bord de la mer non loin de Tokyo, le narrateur, un jeune étudiant en biologie de vingt-et-un ans, philosophe quotidiennement avec son ami, surnommé le Rat, au comptoir du J’s Bar, en buvant des bières.
Puis, un matin après une nuit bien arrosée, le jeune homme se réveille dans la chambre d’une jeune femme inconnue qui n’a que quatre doigts à la main gauche. Le récit bascule alors dans un merveilleux ordinaire, remède à la mélancolie existentielle…
Enfin traduits et réunis en un seul volume, précédés d’une préface de Murakami qui en explique la genèse, Écoute le chant du vent et Flipper, 1973 composent les deux premiers tomes de la trilogie du Rat, que clôt La Course au mouton sauvage.