Bakhita, née au Darfour au milieu du XIXe siècle, est enlevée par des négriers à l’âge de sept ans. Revendue sur un marché des esclaves au Soudan, elle passera de maître en maître et sera rachetée par le consul d’Italie. Placée chez des religieuses, elle demande à y être baptisée puis à devenir sœur.