Nul ne guérit de son enfance ? En 1958, à onze ans, Christian Signol doit quitter son village natal, dans le Quercy, pour devenir pensionnaire à la ville. Une blessure qui ne se refermera jamais. Dans ce livre, le romancier rouvre la porte à ses souvenirs : l’étude du soir dans la bonne odeur du poêle à bois, les fenaisons et les vendanges, le garde-champêtre et son tambour, autant de senteurs, d’instants qui avaient pour lui un avant-goût de paradis !